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naît en 1971 à Abidjan en Côte d'Ivoire. Elle passe douze ans de sa vie à Yopougon, un quartier aujourd'hui populaire d'Abidjan. Par la suite, elle s'inspire de cette période de sa vie pour ses scénarios de bande dessinée, d'abord pour Aya de Yopougon puis plus directement dans Akissi où les bêtises de l'héroïne sont directement inspirés de sa propre enfance.
Marguerite Abouet vient s'installer en France à l'âge de douze ans en même temps que son frère et leur grand-oncle. Elle a douze ans quand ses parents l'envoient avec son grand frère « suivre de longues études » à Paris, où les héberge leur grand-oncle maternel[réf. souhaitée].
Pendant une période où elle vit dans une chambre de bonne, elle met par écrit des choses vues et entendues mais sans destiner encore ses écrits à la publication. Par la suite, en même temps qu'elle travaille comme assistante juridique à Romainville, près de Paris, elle écrit des romans pour jeunes adultes, une forme d'écriture très contraignante qui ne la satisfait pas à cause des modifications sans cesse imposées par les éditeurs. C'est la lecture des bandes dessinées de Marjane Satrapi qui l'intéresse à l'écriture de scénarios de bande dessinée.
Aya de Yopougon, dont le premier tome paraît en 2005, est sa première publication en tant que scénariste. La série relate le quotidien d'un groupe d'adolescentes dans le quartier de Yopougon à Abidjan, vers la fin des années 1970. Elle résulte de la volonté de Marguerite Abouet de donner à voir une représentation plus réaliste de la Côte d'Ivoire que l'image misérabiliste véhiculée par les médias européens4. Le premier tome d’Aya de Yopougon est récompensé par le premier prix au festival d'Angoulême en 2006 et est un succès commercial avec plus de 350 000 albums vendus2. La série comprend six tomes parus entre 2005 et 2010.
Marguerite Abouet arrête alors son métier d'assistante juridique et se consacre à l'écriture. En 2010, elle scénarise la bande dessinée jeunesse Akissi, qui se déroule également à Yopougon mais met en scène les facéties d'une petite fille remuante, avec Mathieu Sapin au dessin.
Elle est mariée au dessinateur Clément Oubrerie, qui dessine notamment Aya de Yopougon.
En 2011, Marguerite Abouet se lance dans la réalisation pour l'adaptation d’Aya de Yopougon en film d'animation, qu'elle coréalise avec Clément Oubrerie au sein d'Autochenille Production. Elle en écrit également le scénario et en conçoit la première maquette dessinée. Cette adaptation sort en juillet 2013, et est nommée au César du meilleur film d'animation l'année suivante. -
Anzata Ouattara est une écrivaine ivoirienne originaire de Bondoukou, ville du Nord-est de la Côte d'Ivoire. Elle est née le 12 janvier 1974
Diplômée en journalisme, Anzata publie dans le magazine féminin Go Magazine des nouvelles rassemblées sous l'étique « Les coups de la vie ». Ces nouvelles, inspirées des problèmes conjugaux que les abonnés du magazine soumettent à la journaliste, sont publiées plus tard en volume ou tome. Ses tomes à succès lui valent de glaner plusieurs distinctions nationales et de terminer parmi les meilleures ventes littéraires en Côte d'Ivoire. Anzata est mariée et mère de 4 enfants. -
Diplômée en journalisme, Anzata publie dans le magazine féminin Go Magazine des nouvelles rassemblées sous l'étique « Les coups de la vie »1. Ces nouvelles, inspirées des problèmes conjuguaux que les abonnés du magazine soumettent à la journaliste, sont publiées plus tard en volume ou tome2. Ses tomes à succès lui valent de glaner plusieurs distinctions nationales et de terminer parmi les meilleures ventes littéraires en Côte d'Ivoire1. Anzata est mariée et mère de 4 enfants3.
- Best of les coups de la vie, tome 1 (2009, Go Media)4
- Best of les coups de la vie, tome 2 (2010, Go Media)
- Best of les coups de la vie, tome 3 (2011, Go Media)
- Best of les coups de la vie, tome 4 (2012, Go Media)
- Best of les coups de la vie, tome 5 (2013, Go Media)5
- Altiné...mon unique péché (2014, Go Media et Les Classiques ivoiriens)
- Safora (2017, Éditions Mouna)
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Bernard Binlin Dadié ou Bernard Abou Koffi Binlin Dadié à l'état-civil, est un écrivain, académicien et homme politique ivoirien né à Assinie au sud de la Côte d'Ivoire le 10 janvier 1916 et mort le 9 mars 20191.
Fils de Gabriel Dadié, compagnon de lutte du premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, Bernard Binlin Dadié est considéré comme le père de la littérature ivoirienne. Bernard Dadié, figure de proue de la littérature ivoirienne, est l'auteur d'une œuvre véritablement prolifique, qui aborde tous les genres littéraires: poésie, roman, théâtre, chroniques, contes traditionnels, le plus significatif étant le théâtre. Après des études à l'école normale William-Ponty de Gorée, il travaille pendant dix ans à l'IFAN (Institut Fondamental d'Afrique noire) de Dakar. En 1947, il retourne dans son pays et milite au sein du RDA (Rassemblement démocratique africain). Les troubles de février 1949 le conduisent en prison pour seize mois, où il tient un journal qui ne sera publié qu'en 1981, Carnets de prison. À l'indépendance de la Côte d'Ivoire, il exerce tour à tour les fonctions de chef de cabinet du ministre de l'Éducation nationale, de directeur des Affaires culturelles, d'inspecteur général des Arts et Lettres, et, en 1977, il devient ministre de la Culture et de l'Information.
En 1965, il obtient le Grand prix littéraire d'Afrique noire pour Patron de New York, et le prix UNESCO/UNAM en 2016 pour son action en faveur de la culture africaine. Le Grand Prix des mécènes de l'édition 2016 des Grands Prix des associations littéraires lui a également été décerné le 9 mars 2017 à Yaoundé, au Cameroun, en hommage à toute son œuvre bibliographique. -
est un écrivain ivoirien, né le 7 juin 1949 à Abidjan-Treichville (Côte d'Ivoire), marié et père de trois enfants. Il y fit ses études primaires et secondaires et ses études universitaires à l'université d'Abidjan.
il obtient un diplôme de l'école de rédaction de Paris. Il est par ailleurs le correspondant permanent du magazine international féminin Amina depuis plus de quinze ans.
Isaie Biton Koulibaly obtient en 2002 pour son roman "Merci l'artiste" le prix NYONDA honorant le père du théâtre gabonais Vincent de Paul NYONDA, le grand prix ivoirien des lettres en 2005 avec "Puissance des lettres", le prix Yambo Ouelogueum en 2008 avec "Et pourtant, elle pleurait" etc. Il était le responsable du service littéraire des nouvelles éditions (NEI) depuis plus de 30 ans. Cependant le 13 janvier 2005, Isaie Biton Koulibaly fait valoir ses droits à la retraite.
Isaie Biton Koulibaly est spécialisé dans la littérature de genre (fantastique, romance, etc.), c'est un des auteurs les plus lus en Côte d'Ivoire.